ANICK MASQUEFA

J’ai eu la chance de voler dans un jet privé de 4 places, avec comme capitaine et pilote, un homme d’affaires spécialisé dans le commerce des perles… et un gros gâteau d’anniversaire sur les genoux. Lors du vol de retour, nous nous sommes arrêtés dans plusieurs fermes perlières situées sur des atolls isolés, d’une beauté à couper le souffle, et qui ne sont accessibles qu’en poti marara – bateau de pêche polynésien.

• Les sports nautiques de toute sorte et les rencontres incroyables avec la vie marine comme les baleines, les raies, les tortues, les dauphins etc
• Les danses en tout genre et particulièrement les danses latines comme la salsa et le tango. Mon amour pour la danse m’a amené à parcourir le monde et il fut un temps où je pouvais passer toute la nuit à danser
• Voyager pour découvrir de nouveaux paysages et cultures, rencontrer des gens et parler différentes langues, essayer de nouvelles saveurs et des goûts inédits
• La musique classique et l’opéra

J’ai grandi à Nice, en France, et j’envisageais d’y vivre toute ma vie. Mais à 18 ans, j’ai déménagé en Polynésie française avec mes parents, pensant que je n’y resterais qu’un an.
Séduite par l’incroyable beauté des îles, par la gentillesse, par la générosité et la tolérance des gens, j’y suis restée onze ans. Par la suite, afin de parfaire mes connaissances en danse (une de mes passions), j’ai quitté les îles et je suis rentrée en France. Mais la vérité est que… vous ne pouvez jamais vraiment quitter les îles…enfin… les îles ne vous quittent jamais. Je suis donc revenue et aujourd’hui, je suis mariée à un polynésien.

Rangiroa, pour son lagon infini, ses nombreux îlots de plage de sable blanc contrastant avec le bleu de l’eau, ses paisibles cocoteraies et ses villages pittoresques au bord du lagon. Ce sentiment d’être seul au monde quand on y est.
Et bien sûr, j’adore la faune sous-marine, les raies manta que l’on rencontre en plongée et les dauphins, ambassadeurs curieux, qui semblent nous accueillir dans leur monde.

Les tambours et la danse tahitienne. Pour cela, j’adore le festival du Heiva et les performances impressionnantes des troupes de danse locales. C’est captivant !